souen a écritdavid96 a écritCeci dit, rien n'est gagné ; on a mangé et bien bu, arrive le sujet : j'ai arrêté de fumer >>> Ceux qui l'ont fait ne pense qu'à refumer un jour. Chiotte, incroyable…
Je suis allé aussi à une fête où des gens fumaient et j'ai demandé à un fumeur qui allumait clopes sur clopes:
si tu pouvais d'un coup de baguette magique être un nom fumeur n'ayant aucune envie de fumer et être libre de tout ça.
Que choisirais-tu?
Et bien, il m'a dit qu'il préférait être fumeur parce qu'il aimait ça... 😐
Je me souviens d'un reportage où un gars en fin de vie avec des tuyaux partout avec un cancer de la gorge, poumons, la totale.
Il avait dit: si j'avais su à quel point j'allais souffrir, j'aurais arrêté ça tout de suite...
Les fumeurs se trouvent beaucoup d'arguments pour continuer dans leur dépendance.
J'ai omis de réagir à ton poste souen et je vais vite rectifier cette erreur car ton poste résume le malaise, le paradoxe et l’ambiguïté du tabagisme.
Si on propose cette baguette magique au fumeur, « abracadabra tu ne fumes plus », il n'en veut pas. Il se raccroche à cette béquille qui le tire vers le bas et la mauvaise santé, c'est le paradoxe. Quand on insiste que ça marche et qu'il n'aura pas de manque, il dit qu'en fait il ne tient pas à arrêter qu'il aime fumer, c'est l’ambiguïté.
J'ai proposé et envoyé le livre d'Allen Carr à une dizaine de fumeurs…
J'ai demandé à la moitié d'entre eux s'il l'avait lu : Aucun ne l'a lu… Aucun… 😐