pierrecastor a écritSi je sortait pas avec des potes fumeurs ET de l'alcool, le sevrage aurait été total
Quand j'ai arrêté, c'est ce que je redoutais le plus.
En fait non, c'est étrange le cerveau, j'aurais pensé que le café, après un repas, l'alcool, l'entourage qui fume, etc. seraient la difficulté à surmonter, mais pas du tout, mais alors que dalle.
Le pourquoi du comment d'un tel miracle ?
Difficile à dire, je pense que c'est dû au démontage minutieux du livre d'Allen Carr.
1 par 1 il te balaie les idées reçues avec une argumentation proche de l'assertion, tu lis, tu découvres une vérité nouvelle, tu comprends la couillonnade.
Ceci dit j'ai un autre défit, qu'est pas simple non plus : le régime. Mais bon, c'est un autre sujet 😛