La majorité des psychopathes ont un compte Facebook
L'un de vos amis utilise sa souris de la main droite ? Et surtout il a un profil Facebook ? Méfiez-vous, il pourrait être un
sociopathe… C'est l'idée que défend le site freelandais Taglémurs en soulignant que les auteurs des plus grands massacres de bébés phoques ou de chatons de ces dernières années étaient présents sur Facebook. De plus, les
responsables de la crise et tous les
va-t-en-guerre de la planète sont aussi sur Facebook. Même le Joker est sur Facebook.
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Le journal de l'actu inutile en ligne, Nonhmédeukoi, relève ainsi que Pikachu, auteur de nombreux traumatismes infantiles et qui a incité des millions de jeunes à capturer de
pauvres créatures sans défense, était bien visible sur le net avant Facebook mais s'y est inscrit quand même. Idem pour
Lolita598726 dont l'exhibition de sa partie charnue en période arrosée ou nocturne était déjà connue jusqu'en Norvège. N'ayant pas cherché à faire retirer ses photos compromettantes d'internet, elle en a au contraire rajouté une quantité considérable sur le nouveau réseau social. On peut y voir une véritable
obsession relationnelle.
Enfin, le charentais Maurice Ben Laden, qui a ouvert des milliers d'huîtres en période festive, dont une bonne centaine avec des perles, entre Marennes et Oléron, était déjà sur Facebook et même sur Twitter avant d'en avoir ouvert seulement la moitié. En revanche il n'a pas de compte Youpub et préfère poster ses exploits sur Dailymouton.
Être présent sur Facebook n'inquiète pas seulement Taglémurs mais également les services de renseignement des États Punis. Selon une enquête de Fourbes, ces derniers se méfieraient des
jeunes recrues avec un compte Facebook. La raison ? Il y a trop de choses qu'ils doivent impérativement cacher et ils risqueraient donc de se faire supprimer bêtement. Rien d'encourageant.
Une étude menée par l'Université de Loosanne et publiée par Pathetics explique notamment que si être accro à internet n'est en soi pas si grave, s'adonner goulûment aux réseaux sociaux peut par contre être un signe de décompensation maniaque à tendance
apopathodiaphulatophobe.
Ainsi Skate.com déclare qu'il faut rester sur ses gardes lorsqu’on accepte un rendez-vous avec quelqu’un qui a un compte Facebook :
« Si vous skatez avec quelqu'un et qu'il a un profil Facebook, vous devriez être méfiants ».
Car là aussi, l'idée que quelqu'un accepte de
se dévoiler publiquement est devenue hélas trop habituelle.
Katie M.J. Butcher, journaliste pour Jemlebœuf, se méfie également des personnes présentes sur Facebook, mais pour une toute autre raison…
« Personnellement, je me méfie quand je rencontre quelqu'un qui est sur Facebook, car cela signifie généralement que la personne est pleine d'espoir à l'idée de faire partie du troupeau, et je dois me préparer à l'entendre meugler avec un enthousiasme écœurant sur le fait qu'il joue aussi à des jeux Zinga sur son smartphone ».
Afin de répondre à ces attaques, Impasse68 a donné la parole à Kitty, une chatte qui s'est éprise de Facebook. Inscrite au début de mars 2013, elle se félicite de sa décision. Elle raconte qu'elle s'est immédiatement sentie « addict » et « perverse » à épier les autres. En un mot « normale quoi ». Aujourd'hui libérée du poids de ses inhibitions, elle passe ses nuits sur le réseau social, boude ses proches tout en les ajoutant à ses amis et fait de nouvelles rencontres avec des chats psychopathes car ça lui plaît d'être
officiellement névrosée…