GangsterAutorisé a écritBon ben avec ce relativisme, ce ni ni, cette façon de ne pas vous positionner, de ne pas vous engager, de considérer que toutes les idées se valent, ben en fait vous êtes des bons clients pour les conservateurs (mollissants avec la finance ou fascisants ou les deux) et puis bientôt pour les fascistes quand ils auront été choisi par la finance/banquiers pour vous gouverner.
Les banquiers n'ont pas à s'inquiéter, ils peuvent continuer à vous faire les poches. Noyés dans vos hésitations vous ne risquez pas d'agir :cool:
On en est là :
Salaires contre profits: le rapport qui bouscule les idées reçues
UMP et PS d'accord pour dire que les salariés se font arnaquer de plus en plus et que ça risque de continuer.
Et les solutions partagées qui ne veulent pas changer de pièce justement : « respectons les mécanismes du marché » qui sont pourtant les causes premières, rénovons, adaptons (au marché, il vas sans dire - libéralisons en bon français - dérégularisons en politicard), abandonnons la nation alors que : « Sous l'effet de la mondialisation, les entreprises sont passées sous un mode de gouvernance "corporate", qui transfère une grande partie du pouvoir de direction aux investisseurs. », cherchez pas. Il faut une « "gouvernance" plus partenariale » (après prolétaires de tous pays unissez-vous ! , voici le prolétaires et capitalistes de tous pays, unissez-vous ! Cette obsession fallacieuse à vouloir faire disparaître la réalité des luttes de classes. Dès fois qu'elles casseraient la pièce, les luttes en question, ... ça serait ballot !). Mais n'oublions pas !! Il faut « revaloriser le travail » (mais conserver les mécanismes de marché, financier y compris), « réguler les excès de concurrence » (mais abandonner l’échelle nationale en politique économique), « produire les biens publics par l'Etat » (mais, et là c'est de la mauvaise foi, mais bon ... : faire allégeance à la dette de l'Etat et comprimer les budget pour gage de bonne foi).
Mais sinon c'est vrai que le communisme, c'est kif-kif avec tout ceci : respect du marché, allégeance aux dettes d’État, abandon de l'idée de lutte de classe, parti pris pour la transnationalisation des industries et des finances, abandon des nations, adaptation des conditions sociales de la masse des prolétaires aux exigences du marché (la flexibilité que ça s'appelle, ou la précarité, bientôt valeur positive d'engagement salarial), considération de la concurrence par ses simples "excès" (ça ne veut rien dire au fait « excès de la concurrence ». Excès de gagner !!? Faut respecter le marché et ses mécanismes, mais trop réussir, c'est mal ... :rolleyes:), etc.
Nan c'est sûr, le communisme, c'est grave la même pièce. Vivement un esprit génial pour nous pondre un système par le menu qui nous ferais vraiment changer de pièce, parce que là, la piécette, elle nous gonflerais presque non ? En attendant, continuons d'attendre, mais surtout, n'oublions pas de « revaloriser le travail » !! :lol: