Fly0s a écritOui, mais bon, il faut savoir raison garder, comme on dit. Si la masturbation était un anti-dépresseur très efficace, ça se saurait ! 😉 (Je dis pas que ça a pas d'effet, juste que les vrais anti-dépresseurs jouent dans une autre cour)
C'est certain. Mais ça pourrait expliquer les "symptômes" décrits dans ce document, comme la perte de motivation.
Fly0s a écritEn gros, je conteste surtout l'idée que tu as soulevé que ça puisse être "dangereux pour la santé mentale".
Le terme était excessif. "Désordre de l'humeur" se rapprocherait plus de ce que je souhaitais présenter. Comme la démotivation évoquée ci-dessus.
Fly0s a écritDisons que dans l'idée de ton argumentaire, l'abus de branlette ne serait pas beaucoup plus dangereux pour la santé mentale que le sport de haut niveau par exemple.
Sauf que lorsqu'on pratique le sport, il y a une contrepartie (la douleur et l'effort) qui ne sont pas présents dans la masturbation, et qui agissent aussi sur l'organisme.
Fly0s a écritEncore une fois, c'est possible qu'il y ait un effet de manque en cas de "seuvrage", mais tout comme la plupart des faibles addictifs, ça s'estomperait en quelques jours. Pas de quoi déclarer la masturbation comme "dangereuse", en soit... (Pas sur cette ligne de raisonnement, en tout cas)
Je pense que dans les cas les plus extrêmes, ce n'est pas si simple, comme pour n'importe quel sevrage d'ailleurs.