Pleney a écritMon ordi est un HP pourvu de 2 DD de 1,5 To chacun. Sur le premier DD se trouvent les partitions suivantes :
swap (12 Go)
/ (200 Go)
/home (1260 Go)
/temp (20 Go)
Petit veinard (mon Amstard 1512 a un disque de 20 Mo 🙂 )
Avec
df -hT --local | fgrep -v tmpfs
lsblk
nous aurons des chiffres sûrs directement sortis de la machine
Pleney a écritLa dernière sauvegarde n'a enregistré que 164 fichiers .gpg (contre environ 720 à 780 pour les précédentes). Elle s'est terminée par un message d'erreur, que voici :
Traceback (most recent call last):
File "/usr/bin/duplicity", line 1532, in <module>
with_tempdir(main)
....
File "/usr/lib/python2.7/tarfile.py", line 2350, in next
raise ReadError("unexpected end of data")
ReadError: unexpected end of data
Ah enfin ! Comme je n'ai pas ubuntu et que j'ai horreur de ces dénominations commerciales (et interfaces pseudo-ergonomiques) je constate que derrière ce nom
Sauvegardes Canobical nous a installé une application nommée
duplicity codée en
python.
Ce langage de haut niveau a l'avantage d'être conçu de telle sorte que que si il se produit une erreur inattendue (une
exception ) le programme s'arrête avec une trace du cheminement qui a conduit à cette erreur non prévue par le programmeur.
Pleney a écritLe Dossier personnel est crypté.
Il semblerait que vous avez succombé aux sirènes de Canonical qui vous promet un monde plus sûr en
chiffrant votre système de fichiers monté en /home
Vous comprendrez aisément que chiffrer (et déchiffrer à la volée ) un système de fichiers de 1260 Go c'est à dire de 1260 milliards d'octets ) ce n'est pas gratuit en terme de ressources.
Pleney a écrit A la fin, les deux premières étapes (analyse + vérification) duraient plus de 5 heures, suivies par 1 heure environ de sauvegarde.
Pendant la phase analyse + vérification, le programme fait une comparaison entre source et destination (DD externe) de ce qu'on appelle les méta-données. Ceci comprend entre autre les noms des répertoires et fichiers, les dates de modification, les ppropriétaires/groupes et permissions. Comme vous avez un très grand nombre d'objets à traiter c'est long. C'est d'autant plus long que le logiciel cherche à dédupliquer les blocs de données, c'est-à-dire à chercher si le contenu d'un fichier à sauvegarder ne comprendrait pas des blocs déjà présents dans le répertoire de destination.
Donnez nous le retour de
df -iT | fgrep -v tmpfs
avec le disque de sauvegarde connecté.
Pleney a écritEnsuite, chaque fois que je relance la sauvegarde, ça ajoute environ 700 fichiers GPG, donc 36 Go
Peut-on avoir le retour de
file NomUnFichier.gpg
pour vérifier si c'est bien une archive tar. Auquel cas la commande
tar tvf Fichier.gpg
sur les derniers fichiers générés serait à tenter.
Pleney a écritDu coup, j'ai installé le logiciel luckyBackup, qui apparemment fonctionne à merveille pour synchroniser un dossier et sa copie lisible (on peut donc toujours vérifier). N'est-ce pas une solution bien préférable à l'appli Sauvegardes suggérée par Ubuntu ?...
Ce ne sont pas les solutions de sauvegardes qui manquent, toutes plus allévhantes les unes que les autres et avec des noms "buzzword compliant" :lol:
En pratique les professionnels analysent les besoins en sauvegarde, déterminent une liste de ce qui doit être sauvegardé et surtout de ce qu'il n'y a pas lieu de sauvegarder (les caches de toutes sortes, ce qui est facile à regénérer, ..) et s'orientent vers des solutions où la robustesse est privilégiée à la sophistication. (solutions souvent bâties autour de
rsync )
Cordialement,
Regards,
Mit freundlichen Grüßen,
مع تحياتي الخالصة
---
F. Petitjean
« On ne perd pas son temps en aiguisant ses outils. »
Proverbe français
« Moi, lorsque je n’ai rien à dire, je veux qu’on le sache. » (R. Devos)