Phil17 a écritPossible que dans le Terminal on verra bien d'autres indices sous forme de lettres, mais je n'arrive pas à les comprendre de mon côté.
Oui, quand un NTFS est monté et que tu lances
mount -l | grep fuseb
La réponse est soit
/dev/sdxn on /media/Data-1To type fuseblk (
rw, +les options) [ÉTIQUETTE]
(
read
write, lecture écriture)
soit
/dev/sdxn on /media/Data-1To type fuseblk (
ro, +les options) [ÉTIQUETTE]
(
read
only, lecture seule).
[center]= =[/center]
Coeur Noir a écrit
On pourrait sans doute mieux gérer l'éventuelle indisponibilité de cette partition ( quand elle est « gelée » par hibernation / démarrage rapide ) via une ou des options adéquates sur sa ligne de montage dans le fstab.
Pour ça faudrait que je fouille un peu. Ou demander de l'aide à ce sujet - Moko 😃 ? - je pense aux options nofail et errors=remount-ro, s'appliquent-elles à du NTFS ?
Oui,
nofail fonctionne sur du ntfs (et sur une swap) et était bien pratique avant, pour éviter que le démarrage ne soit gelé 90 secondes (après quoi il poursuivait sans monter le ntfs ou sans activer la swap).
À présent, nofail est moins intéressant sur du ntfs.
Je suis presque sûr d'avoir lu qu"à partir de 20.04, Ubuntu pouvait forcer le remontage du ntfs en "rw", en retirant à la main le "dirty bit".
Mais je ne le conseille pas !
Car si le "dirty bit" a été posé par Windows pour signaler un problème requérant une vérification du système de fichiers avant tout remontage (et c'est, à ma connaissance, la première fonction du "dirty bit" !), alors le retirer à la main et écrire sur un ntfs en vrac, c'est
courir au-devant de la perte de fichiers.