La synchronisation remarche, merci!
Bien.
Tous ces pépins n'étaient liés qu'à une seule chose ( qu'on a réparée depuis ) : les quelques dossiers et fichiers « importants » qui ne t'appartenaient plus dans ton répertoire personnel.
Geole a cependant pointé de possibles signes d'usure, ou du moins des couacs liés au fait que tu ne démontais pas / éjectais pas ces disques
proprement - mais ça aussi c'est lié au point précédent, faute pendant longtemps de ne pas y accéder « normalement ». As-tu lu et compris ce qui concerne montage et démontage ?
Est-ce que vous me conseillez le #87?
Ce disque tu en as besoin une fois par semaine ou plusieurs fois par heure ?
Si ta réponse est + proche du « plusieurs fois par heure » que du « une fois par semaine », alors oui ce sera plus confortable ( tu n'auras plus à te demander si le disque est juste vu physiquement/matériellement, ou vu ET monté/exploitable par le système ).
Reste
au moins 2 choses à voir : l'autre disque ( en
fat ) et les
snap.
1⋅ snap puisque tu en utilises quelques uns:
a⋅ nettoyage, à faire en théorie seulement quand tu manques d'espace, mais là je me permets pour l'exemple.
Quand un snap se met à jour, il conserve la version précédente, au cas où il y aurait un pépin dans la nouvelle version tu peux retrouver l'ancienne. Inconvénient ça prend de la place. Pour effacer les
snap désactivés tu peux passer la commande impossible à retenir :
snap list --all | awk '/désactivé|disabled/{print $1, $3}' | while read snapname revision; do sudo snap remove "$snapname" --revision="$revision"; done
b⋅ autorisations, un des buts de la technologie
snap, c'est que ces logiciels fonctionnent à moindre interaction possible avec le système, on parle de « confinement ». Par défaut ce confinement limite les interactions au strict nécessaire technique. L'utilisateur peut cependant adapter ce confinement à ses besoins.
⋅ par défaut la grosse plupart du temps, un
snap n'accède qu'à
/home/$USER
⋅ si l'utilisateur doit accéder à d'autres partitions avec une appli
snap, la connecter à l'interface
removable-media
→ en graphique : soit via
logiciel, la page du
snap en question, bouton [ autorisations ] à côté de [ lancer | supprimer ]

→ soit ( à partir de 20.04 ) via
paramètres système / applications
← ceci est un .gif animé
→ en commande :
snap connect application:removable-media
⋅ dès lors le snap à accès à
/home + /media + /mnt + /run/media
⋅ ce qui implique : connecter l'interface removable-media est un préalable impératif incontournable sur une appli' snap
→ si des datas perso de l'utilisateur se trouvent « physiquement » ailleurs que dans le dossier /home ( autre disque, autre partition, ressource en réseau )
→ les points de montage de ces diverses ressources doivent impérativement se trouver dans /home ou /media ou /mnt ou /run/media et nulle part ailleurs ( par ex. pas direct à la racine du système genre /data )
À surveiller et appliquer pour quasi chacun de tes snap, sauf
skype : un
snap noté
classic fonctionne sans confinement, à l'ancienne, avec accès à tout ton système ( les
snap permettant ce fonctionnement moins sécuritaire sont de + en + rares ).
2⋅ l'autre disque formaté en fat.
→ Lorsqu'on veut partager des données via une unité de stockage entre un OS Windows et un OS Linux, il est nécessaire d'utiliser des systèmes de fichiers exploitables par les 2 OS. Contre toute logique, Windows n'a jamais implémenté nativement les fichiers de système libres et ouverts disponibles sous Linux. C'est donc la communauté Linux qui, en s'arrachant les cheveux et en se laissant pousser la barbe, a fini par percer des secrets du fonctionnement des systèmes de fichiers Windows,
NTFS et FAT entre autres. Ces 2 là sont donc
utiles en cas de partage de données entre les 2 OS ( j'ai raccourci et grossi le trait ).
→ Pour des
disques internes, fixes à une machine fonctionnant
100% du temps sous Linux, FAT et NTFS n'ont
aucun intérêt : ces systèmes de fichiers ont été conçus par et pour Microsoft, ils ne tiennent pas compte des besoins d'un système Linux ( droits et permissions, entre autres ) voire ont des limitations gênantes ( taille d'un fichier limité à 4Go sur
fat par ex. ). Et surtout
en cas de pépins, Linux ne saura pas les réparer aussi bien que ne le ferait Windows.
Si ton disque actuellement en
fat est destiné à rester à demeure à l'intérieur de ton pc : sauvegarde ses données ailleurs. Nettoie ce disque, reformate le en y créant une table de partitions ET une partition en EXT4, et rapatries-y tes données si tu veux. Puis inscris le montage de ce disque dans
fstab si tu t'en sers relativement souvent.
Enfin puisqu'il s'agissait d'une mise à niveau de 18.04 à 20.04 - et par hasard s'agissait-il avant d'une mise à niveau de 16.04 à 18.04 ? - il faudrait songer à un nettoyage des scories accumulées au cours de ces années de fonctionnement.
Tout cela dit, ton problème initial est résolu, il faudrait donc modifier le titre de ton premier message et y remplacer le « help » par [ résolu ] ainsi qu'ajouter à la fin de ce premier message un résumé de la solution voire un lien vers le message réparateur, le #70 : https://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?pid=22380423#p22380423