Je disais juste :
x-gvfs-show et
x-udisk-auth ne servent à rien 99% du temps pour tout le monde. Ces options n'adressent que des cas particuliers, souvent spécifiques à Gnome, elles ne sont pas universelles.
Et ici dans ce cas ( points de montage dans /media/… + montage dès le démarrage + pas de partitions chiffrées ) elles ne servent à rien, tout court, donc pourquoi les laisser ? Les laisser n'est pas gênant, ok, mais inutile.
( j'ai beau chercher, je trouve peu de doc's au sujet de ces options - par contre des trouzaines de posts où x-gvfs-show pose problème, ça oui c'est facile à trouver… )
Comme de laisser
auto plutôt que préciser
ext4 pour le type de système de fichiers, c'est pas bien grave mais je suppose que ça fait perdre un micronième de seconde au démarrage, le temps que le système détermine à quel type de
fs il a à faire. Autant lui dire tout de suite.
Erresse ces options
x-gvfs-show et
x-udisk-auth n'ont rien à voir avec le fait qu'un montage appartienne à
root. C'est normal qu'un montage appartienne à
root, puisque c'est une opération réalisée par le « système » et qui concerne des périphériques ( périphériques que le système attribue à des groupes d'utilisateurs spécifiques en fonction de leur type ).
Si tu veux des montages dédiés aux utilisateurs, dans ce cas il ne faut pas utiliser
fstab ( forcément système ) mais les initier en tant qu'utilisateur depuis sa session via
udisksctl [
ubuntu man page ] ( qui exclura d'office les options « dangereuses » type
suid ou
dev et autres de nature à attribuer des privilèges élevés à un utilisateur ).
udisksctl est le mécanisme utilisé « derrière » le montage automatique des médias amovibles à leur connexion mais on peut tout à fait s'en servir « manuellement » via des
lanceurs en
autostart par exemple ( et dans ce cas des données utilisateur ne montent qu'avec la mise en route de la session de cet utilisateur, c'est plutôt
safe ).
Quand on utilise
fstab avec un point de vue « humain » sur les données à monter, on en détourne un peu l'objectif initial, qui est d'attacher au système de façon statique / permanente les partitions nécessaires à son bon fonctionnement à lui. C'est évidemment commode de passer par là pour
aussi attacher ce qui semble important d'un point de vue humain mais ça n'a rien d'obligatoire pour le système.
Tout ça pour dire : y'a pas une seule méthode, une plus royale que les autres, tout dépend du contexte de la machine et des humains qui s'en servent, du degré de séparation qu'on estime nécessaires entre données système / humaine, puis entre données de chaque humain. Dans le cas d'un ordi solo avec un seul utilisateur, on peut tout laisser dans le même sac. Dans des ordis à plusieurs utilisateurs en réseau / synchro / nuage, on agira sans doute autrement.