merci pour vos précisions toujours exacts et toujours avec un temps de réponse olympiens, mais j'ai bien peur qu'a la longue "votre concept" et ubuntu se fasse racheter petit à petit afin
http://www.clubic.com/actualite-78359-c … libre.html qu'il ne reste plus qu'un poigné d'utilisateurs passionnés et qui auront à la longue une image de hacker/geek à cheveux longs (et que l'esprit du libre sera phagosyter), bref un peu des "sauvages" incontrolables dans ce monde organisés de spéculateurs soignés, donc sérieux et qui donc font le poids..... wink pour finir dans une fausse bataille de concurence entre l'auhtentique Fedora 19.01 contre le véritable Ubuntu 18.99, qui est le meilleurs ? etc ....
Un peu à l'image de la voiture à eau qui c'est fait racheté et que l'on entends plus parler , sauf peut être chez certains écolo qui ont du fromage de chévre dans la barbe avec des mouches qui tournent autours wink .......et tout ca en réussissant le tour de force de changer d'heure pour raison d'économie dans la plus grande dilution possible......
J'appelle cela le risque "alimentaire".
Notre société moderne ne nous pousse pas, naturellement, à une auto-suffisance comme le faisait nos arrières-grand-parents qui arrivaient, dans leur société, à vivre en autarcie locale.
Quand on se lance dans une aventure professionnelle à forte éthique, il y a le risque alimentaire. Si cette activité ne nourris pas, on retourne inévitablement à l'économie dominante. Difficile de laisser mourir sa famille de faim...
La création de mon entreprise a été induit par mon passé d'activiste syndicaliste, ma sensibilité écologiste. Comme vous l'avez fait remarquer, j'essaye de faire une informatique accessible à tous et de qualité. Au début de mon activité, une grande partie de ma clientèle était des petits budgets. J'ai le souvenir d'une mère qui était venu m'acheter, pour le noël de son fils, un ordinateur avec un écran plat a tout petit prix et qui me confier avoir fait des heures de ménage en plus de son travail pour offrir à son fils l'objet utile pour sa future insertion sociale. Gratifiant !
Cette clientèle a disparu, premiere a être touché par la crise. Il n'ont même plus les moyens d'acheter un ordinateur à 150 Eur... Ils sont, aujourd'hui, dans la survis.
Pour éviter, le risque alimentaire, protéger ma petite famille et rester fidèle à mon ethique, j'ai pris la décision dès le départ, de ne pas vivre de cette activité. Je cumule deux emplois, un alimentaire et un que j'ai créé par conviction...