Salut à tous !
φlip a écrit
C'est quoi cette comparaison sans queue ni tête.
[...]
comparer libreoffice à un OS "windows", c'est ce qu'on appelle comparer des choux et des carottes.
Tout à fait.
Tu peux comparer des éditeurs de texte avec des traitements texte
Hé bien non, les deux types de logiciels sont conçus pour réaliser des tâches différentes. C'est tout autant « comparer des choux et des carottes » que dans le cas de la comparaison de Fishkilleur.
Dans 260MB, tu fais largement tenir un OS tout entier.
Tout dépend de ce que tu attends de ce système d'exploitation, également de ce que tu entends par système d'exploitation.
Essaie d'envoyer un document ODF dans une entreprise dont les outils informatiques ne lisent pas l'ODF, ton document ne sera simplement pas lu.
Microsoft Word, au moins depuis la version 2007, lis le format ODF.
Dans ce cas, il est préférable que tu l'envoies en pdf.
En effet, PDF est un excellent format d'échange. Il est à conseiller.
Pour mon utilisation, Kword qui pèse 24MB dans KDE (donc 24MB pour le code dédié au "traitement de texte"), me suffirait amplement
En revanche, comparer le poid de KWord et de LibreOffice Writer est en effet quelque chose de raisonnable. Le problème, c'est que dans les 24 MiO, il n'y a pas du tout l'interface graphique, ni la gestion des fichiers, entre autre, qui font parties de Qt et des bibliothèques KDE. LibreOffice Writer n'utilise pas ces bibliothèque, mais une bibliothèque dédié. En conséquence, le paquet est bien plus gros.
il faudra encore quelques années pour corriger un bug de font-rendering.
Est-ce qu'au moins tu as fait un rapport de bogue ?
Article intéressant, il y a tout de même à mon sens un problème. Il est dit : « Mais le cabinet va encore plus loin. "A y regarder de plus près, nous pouvons également voir comment ce projet constitue également une base pour d'autres forks et fragmentations. La présence et l'implication d'éditeurs pro-Open Source comme Canonical, Google, Novell et Red Hat semble apporter de la solidité au projet et garantir un avenir certain à LibreOffice. Mais rappelons qu'il s'agit d'entreprises commerciales, motivées par les profits et contrôlées par les actionnaires et les partenaires. Elles supporteront LibreOffice tant que LibreOffice contribuera directement et explicitement à leurs bénéfices". De là, ajoute Saugatuk, les agendas et feuilles de routes de chacun étant différents, la fragmentation ne devrait aller qu'en s'accentuant. »
Certainement. Ces mêmes entreprises collaborent depuis des années, avec bien d'autres, au développement du noyau Linux. Lequel noyau devrait donc déjà être fragmenté.
Le problème de la communauté, c'est de réussir à créer une vraie dynamique, qui manquait jusqu'à présent à OpenOffice.org. L'objectif étant de créer les meilleures conditions pour réaliser la meilleure suite bureautique libre possible. Les parts de marchés, c'est le problème de d'Oracle. Il lui appartient de faire en sorte que le projet ne soit pas morcelé.
À bientôt.
Le Farfadet Spatial