Neros a écritÇa laisse d'ailleurs beaucoup plus de liberté pour le partitionnement, là où le vieux installeur te mettait quatre partitions (/ /boot /home et swap) lorsque tu utilisait le partitionnement assisté.
Tu pouvais utiliser autre chose, il me semble.
Oui, tu pouvais faire autre chose dans une autre TTY, ou partitionner en amont avec GParted live ou autre, et lui dire à quels partitions correspond tel point de montage et avec quel système de fichiers.
C'était plus compliqué que nécessaire.
Neros a écritFranchement, je préfère ça à l'installeur d'avant. C'est beaucoup plus KISS.
Je vois pas en quoi c'est plus KISS.
C'est plus KISS parce que, tout comme la disparition de /etc/rc.conf, ça évite de mettre des interfaces en plus par rapport à ce qui existe déjà au niveau upstream. Tout ce que tu utilise dans le nouveau processus d'installation n'a rien de spécifique à Arch. L'installeur rajoutait de la complexité par dessus par rapport à l'existant pour avoir quelque chose de "user friendly".
Tu confonds "user friendly" et KISS.
/etc/rc.conf n'existe pas au niveau upstream. L'installeur n'existait pas au niveau upstream. KISS, c'est, entre-autre, être proche de l'upstream, et éviter les interfaçages maison (par nature foireux). Leur disparition rend Archlinux plus KISS car plus proche de l'upstream.
Neros a écritNon, c'est pas plus simple pour une installation de base.
Tu confonds "user friendly" et KISS. Et puis, c'est subjectif. Pour moi, j'ai trouvé ça tout aussi simple.
De toute façon, si tu veux du "user friendly", tu prends une *buntu. Pas Archlinux.
Neros a écritA la limite, qu'il y ait les 2 systèmes, ok, mais là non.
Archlinux, c'est un projet bénévole. L'installeur n'avait plus de mainteneur et n'était plus à jour, il est donc viré. C'est logique.
Si tu veux qu'il réapparaisse, occupe-t-en.