Bousky a écritDe toute façon tout le monde sait bien que "the Internet is made of cats" !
Le contenu de cette image est réprouvé par l'association de lutte contre la maltraitances des animaux et des enfants.
@Grünt Tu as tout à fait raison.
Ça va faire plus de 35 ans qu'on me vend de la peur à la louche, au tonneau et même en camion-toupie. Peur du fascisme toujours sur le retour, de la guerre, de H1N1, de l'anthrax, de la crise économique, du gaz sarrin dans le métro de Tokyo, des pédophiles, du prion de la vache folle, du terrorisme enturbanné et barbu, des missiles SS20 russes pointés sur l'occident valeureusement défendu par les fusées Pershing de Reagan (mes années collège), des jeunes désœuvrés... pour te dire j'ai même suivi des repportages à propos de gens qui stockaient de l'essence dans des baignoires et dévalisaient la farine dans les supérettes à Marseille parce que Saddam Hussein, en 1990 à la tête de la « 2e armée du monde », aurait pointé ses Skuds vers l'Europe (années lycée). Je t'épargne les faux-charniers - Caucescu le Vampire des Carpates - et les vieilles tapineuses qui retournent leurs vestes. Kouchner et Besson furent loin d'être les premiers. J'en ai vu, entendu et lu des conneries ! De la saga Guy George, le tueur de l'Est Parisien, aux ravages du SIDA qui allait dépeupler le monde. Et le pire c'est que parfois je les ai gobées.
En définitive, ce fut toujours la même histoire : c'est pour votre bien. La sécurité exige qu'on rapetisse les libertés. La sensibilité d'autrui que tu fermes ton clapet grinçant. Quant à internet lié à la pédophilie, même chose, du pur théâtre. Ça a existé bien avant que les modems crachotent chez les particuliers, il suffit de lire
Hécate et ses chiens de Morand pour le savoir. Fliquer les gens un peu plus - puce sur ta carte d'identité, croisement des données - servirait à quelque chose d'autre qu'à renforcer l'auto-censure et assurer la docilité des masses ? C'est de la flûte. Qui pourrait stopper Freenet ? Allons... un peu de sérieux.
Alors l'imbécile de répondre « De toute façon moi, je n'ai rien à me reppocher. »