Πυλάδης a écrit
Pis cette histoire de sale écriture, c’est un mythe.
Non. Pendant mes stages, j'ai eu des sueurs froides devant les ordos de certains toubibs. Tandis que les titulaires, eux, ils étaient habitués, et en 1/4 de seconde, ils arrivaient à déchiffrer les hiéroglyphes qui me mettaient en veille. 😐
Normal, les ordonnances sont imprimées, maintenant.
Oui, et mieux, les logiciels font des ordonnances en DCI. Mais c'est pas systématique malheureusement. 🙁
Docteur en pharmacie : 10 ans d'études pour apprendre à déchiffrer les ordonnances…
Non. Deux années, et seulement pour le 1/4 d'une promotion donnée, qui fini en filière officine.
Pour ma part, j'en suis incapable, dans la mesure ou je me spécialise en biotech' et non pas en encyclopédie humaine de détection d’interactions et/ou contre-indications. 😐
Le reste des études, c'est un mash-up de licences/master de biologie/chimie/MP/écologie, avec une pincée de médical pour faire bien pendant les dîners.
En passant, pour la beauté de l'anecdote : il y a un concours annuel de lecture critique d'ordonnance pour les étudiants en filière officine. Je ne sais pas si ça évalue les capacités d'OCR de l'apprenti officinal, mais en tout cas, niveau entubage de mouche sur les interactions, ça va chercher TRÈS loin (je plains les toubibs exerçant près de là où s'installent les lauréats : le téléphone doit chauffer).
Pour rester dans le sujet :
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