Hibou57 a écritSi je veux bien, et je n’en ai justement pas envie (de revenir sur ce sujet). Et ici ce n’est pas un sujet sur Wikipédia.
Celui-ci, n'en est en effet pas un, ç'pour ça que je te demande de le répondre là-bas 😛
Et vu à quel point les accusations que tu as formulé étaient simultanément graves et floues, je vois deux conclusions possibles : soit c'était mensonger, soit tu t'en fais complice. Ces deux conclusions me semblent aussi graves, ce qui m'inquiète 😐
Mais bon, ç'n'est effectivement pas le sujet, donc, dans l'absence de réponse de ta part sur l'autre sujet, je devrais m'en tenir là (et les autres lecteurs aussi, je suppose).
Toutes mes excuses pour cet intermède.
Hibou57 a écritLes bouquinistes chez moi, ne vendent pas de livre de poche
Il y a une précision qui s'impose : « le livre de poche » est une collection spécifique, appartenant aux éditions Hachette. Effectivement, je ne me souviens pas d'avoir vu récemment de livres de cette collection (il faut dire que je n'y ai pas particulièrement prêté attention) chez un bouquinistes ; en revanche, des livres au « format poche », j'en ai croisé un bon paquet.
Si c'est bien de ces derniers dont tu parlais, ce qui me semble plus cohérent avec ton propos d'origine (mais dans ce cas, l'appellation « livre de poche » est sans doute abusive), je crains que tu n'aies abusivement généralisé des bouquinistes près de chez toi à l'ensemble des bouquinistes 😉
Pour information complémentaire, les derniers livres au format poche que j'ai achetés étaient vendus aux alentours de 2€ pièce l'occasion, contre 5€ le neuf, me semble-t-il.
Hibou57 a écritDe toutes manières, c’est une impasse de comparer systématiquement le livre numérique au livre papier. Et les gens qui n’aiment pas les livres numériques n’ont pas besoin de cette comparaison pour rester aux livres papier.
Systématiquement, certes ; néanmoins, dans certains cas, la comparaison me semble intéressante.
Notamment, pour ce dont il était questions ici (les possibilités offertes de revente et de prêt), il ne me semble pas aberrant de comparer les deux cas.
Hibou57 a écritLe livre numérique, c’est la possibilité de re‑consulter ses propres écrits sans avoir à les imprimer, les livres avec l’encombrement en moins (plus besoin de se demander si on garde ou se débarrasse de ceux‑ci ou ceux‑là), l’acte pratique de la lecture ou de la consultation, avec les notes qui n’abiment plus le papier ou ne s’envolent pas à la moindre occasion (selon la manière), la mise en relation directe avec un dictionnaire ou d’autre fragments de texte, l’ergonomie et la fatigue visuelle en moins pour tous les documents qui n’étaient pas imprimées (et qu’il était idiot d’imprimer vu les quantités de papier mise en œuvre), surtout des PDF.
Je pourrais objecter quelques éléments ; néanmoins je me contenterai de constater que ce paragraphe est lui-même une comparaison entre le numérique et le support papier, donc, d'après ton paragraphe précédent, une impasse.
Il me semble évident que les deux supports ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients, et que la classification de telle ou telle caractéristique comme l'un ou comme l'autre dépend essentiellement des préférences personnelles de chacun. La comparaison sur ces critères personnelles, effectivement, n'apporte pas grand chose au débat… ce qui est d'ailleurs la raison pour laquelle ce n'était pas l'objet de mon message.
Celui-ci visait en effet à spécifier (digression sur la vente d'occasions mise à part) que la comparaison (dans laquelle tu t'étais toi-même engagé, je n'ai fait que t'y suivre) sur les sus-citées possibilités de revente et de prêt entre les deux formats étaient tout-à-fait pertinente, mais partiellement incomplète.
D'une manière plus générale, réfléchir aux possibilités légales de revente et de prêt n'est pas seulement une affaire de comparaisons entre les deux supports, mais porte également sur la grande question de la propriété des données numériques.