tiramiseb a écritinkey, as-tu regardé la vidéo ?
C'est une conférence très intéressante, bien argumentée, etc.
Elle a changé ma vision de la chose.
J'ai regardé en fait la moitié, aprés je t'avouerai que j'avais pas la patience de tout regardé (surement une conséquence de la méchante télévision qui m'a ramolli le cerveau 😛 ), parce qu'en fait,
ce qui est dit est sûrement exact, j'ai pas vraiment l'impression d'avoir appris grand chose à vrai dire :/,
mais je trouve l'interprétation qui voudrait que donc la télévision c'est le mal, est un raccourci un peu rapide et facile.
Et je ne vois pas du tout en quoi ça va à l'encontre de ce que je dit, en fait.
La télévision est mal utilisé, c'est pas pour autant qu'elle est une sorte de monstre de la désolation.
Biensur si tu met ton enfant devant la télévision au lieu de lui parler, que tu le perd dans un monde d'images en constant mouvement, ça sera mauvais.
Biensur la télévision, tout comme les autres médias, est particulièrement touché par le poid de la
publicité qui pousse la télévision à être utiliser pour chercher à choquer, pour exagérer dans un sens ou l'autre les choses.
Mais qu'on ne s'y trompe pas, ce n'est pas la télévision qui serait une sorte de diable absolue.
J'y vois deux choses problèmatique personnellement :
- Le fait que la télévision soit un médias très (trop ?) rapide tout comme le sont les ordinateurs et autre produit numériques.
On se retrouve face à une masse d'information à triée au lieu traditionnellement de quelques informations qu'on exploite aux maximum.
- Le côté «agressif» du médias lié notamment au fait qu'il s'agissant de lumière (souvent mal calibré en plus, et je parle pas des écran reflets…)
mais aussi dans le message publicitaire qui est envoyée.
Ce n'est pas pour rien que les e-book ont mis en place d'autre système d'écran. Quand au gros problème du côté publicitaire, c'est un problème bien plus globale même si
la télévision étant le médias des images (langage bien plus universel, donc le message passe bien mieux) , c'est le médias de prédilection de ce genre de procédé.
Il nampèche que niveau publicité et sensationnalisme, jouant sur le stress et autre, les autres médias ne sont pas épargnés. Je pense notamment à une tendance générale
à mettre en avant le moindre fait divers.