Ce qui prouve que tu n'as rien compris, aveuglé que tu es par ton fanatisme politique, tu en deviens incapable de la moindre analyse.
On te fait juste remarquer qu'un communiste qui devient riche cesse d’être communiste et je ne connais pas d’exception a ce fait.
Le plus riches et les plus célèbre d'entre eux, JB, Doumeng ddit le milliardaire rouge, est rester au PCF, il a même beaucoup financé le PCF, mais il c'est toujours comporté en bon capitaliste, que cela te déplaise, je le conçois, mais je n'y peux rien si c'est un fait avéré.
Et cela ne t'autorise en aucun cas de balancer des insultes, si tu n'est pas capable de discuter, tais-toi ou va discuter ailleurs !
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Jean-Baptiste DOUMENG, dit le Milliardaire rouge
L’histoire de Jean-Baptiste Doumeng, homme d’affaires français à la fois communiste et milliardaire, ce Gascon né en 1919 et ayant fait sa fortune dans l’agro-alimentaire avec les pays de l’Est ... Ancien résistant antifasciste, communiste de cœur et d’âme, il ne se limitait pas aux préoccupations banales du quotidien.
Au cours de la seconde moitié des années soixante-dix, j’ai eu l’occasion de visiter la France dans le cadre d’une délégation du parti Communiste de l’Union Soviétique. A cette époque-là, les problèmes agricoles tenaient une place importante dans la sphère de mes préoccupations.
Aussi n’était-ce pas le fait du hasard si je fis la connaissance du Président de l’influente société agroalimentaire InterAgra. La personnalité truculente de Jean-Baptiste Doumeng me frappa sur-le-champ et demeura gravée à jamais dans ma mémoire !
Ancien résistant antifasciste, communiste de cœur et d’âme, il ne se limitait pas aux préoccupations banales du quotidien. Et je ne saurait oublier de rappeler - avec faveur - son souci constant du développement des relations franco-soviétiques. Nous nous sommes rencontrés plus d’une fois, Jean-Baptiste et moi, à Moscou, et, à chaque entretien, nous avons parlé de beaucoup de choses. Le dernier date du printemps de 1986. A cette époque-là nous le savions déjà très malade. Néanmoins, son souci de la paix, son intérêt pour notre pérestroika, l’avaient conduit à Moscou. C’est ainsi qu’il est resté dans nos mémoires : Français jusqu’à la moelle des os, paysan robuste et brûlé de soleil, mais aussi grand politique, pour qui le souci de la paix constituait le gage d’un renouveau éternel pour la nature et l’humanité.
(Préface de Mikhail Gorbatchev)
Certains avancent qu'il est resté communiste pour moi il c'est comporté en parfait capitaliste, qui a trouvé un filon rentable.
JB Doumeng pour les jeunes qui ne l'ont pas connu.