inkey a écritJe vois bien le truc d'une sorte de travail précaire forcée (sinon plus d'argent) pour faire bien dans les statistiques du chômage…
Tu n'es pas le seul ! :lol:
Oui parce que tous ces chômeurs, ça fait sale.
xabilon a écritBen "l'image de la France" à l'extérieur, ce n'est ni Peugeot ni Renault.
C'est Daft Punk, la gastronomie, Brigitte Bardot, la mode, le parfum, le festival de Cannes, Airbus...
Pour les voitures, c'est plutôt l'Allemagne, le Japon et la Corée... mais sûrement pas la France.
Pour pouvoir s'en sortir, il faut savoir profiter au mieux de ce pour quoi on est le plus doué.
Ce pour quoi nous sommes les plus doués c'est : l'aéronautique, l'agroalimentaire, la chimie (cosmétique et pharmaceutique). L'automobile n'est pas le secteur le plus déficitaire. Là où on paume plein de pognon, c'est sur l’énergie et l'eau.
Les balances commerciales des états devraient être à l'équilibre, toujours. Pour cela, on peut faire appel à deux principes : la concurrence et la compétition aidée de la spécialisation (avantages comparatifs) ou bien la coopération entre les États-nations et le protectionnisme aidé par le droit international.
Y'en a qui disent que ça ne peut se faire que sur la base du premier principe parce que c'est la liberté et sinon c'est le goulag. Y'en a qui disent que ça ne peut être que la seconde solution parce que c'est l'organisation et sinon c'est la guerre assurée.
La seconde solution fût élaborée et pratiquement signée par 56 États qui furent conviées à se mettre autour de la table et qui acceptèrent d'y prendre part à la sortie de la seconde guerre mondiale. Ce fût la quasi totalité de ce que l'on nomme communauté internationale aujourd'hui qui allait mettre en place l’Organisation Internationale du Commerce.
Un État a finalement refusé de signer. Le plus gros, le plus puissant, parce que ça ne faisait pas assez la nique aux bolcheviques du goulag et que c’était pas super, super niveau liberté ... A la place de l'OIC on a eu l'OMC. Et aujourd'hui ceux qui ont appuyés pendant des décennies en faveur de l'OMC sous la coupe de cet État très puissant s'organisent pour contourner leur propre organisation devenu trop lourde a supporter et trop contraignante (faut le faire !) vis à vis des pays en voie de croissance économique, notamment les BRICS, devenu trop performant malgré toutes les entraves de liberté qu'on a pu leur imposer à grand coup de menace militaire (parfois plus que de menaces) et d'ingérence au court des 60 dernières années.
Y'en a qui disaient et qui continuent de dire que si ça n'est pas la seconde solution, c'est la guerre assurée.