Je lis le topic. J'interviens quand je veux. En outre, mon précédent post pointait simplement vers une requête de ta part à laquelle il avait été répondu.
6steme1 a écritTu n'utilises les topics que pour chercher à m'affronter, on ne lit rien des sujets de ta part.
Non. Maintenant, après
ça, (entre autres), je n'ai aucune raison de te ménager. En outre, oui, je maintiens : la recherche de la cohérence interne, c'est pas ce qui t'étouffe. Tu vas écrire tout et son contraire simplement pour essayer d'avoir le dernier mot.
Comme tu t'exclamerais toi-même : c'est assez puéril !
6steme1 a écritPour ma part, sauf à me répéter j'ai dit ce que je pense de l'islam et en tant que citoyen libre et athée d'un pays laïc où l'expression des opinions n'est pas trop entravée, n'ayant pas injurié, ni diffamé personne n'est autorisé à m'en faire grief.
En fait, si, on peut critiquer tes opinions. Tu aimerais bien que non, mais oui, on peut. Désolé.
Au passage tu ne te prives pas toi, de critiquer les opinions des autres. Même si tu mêles ces critiques à des attaques personnelles plus souvent qu'à ton tour, c'est ton droit. C'est aussi le droit de tes interlocuteurs de critiquer tes opinions, ta façon de les présenter et ton attitude en général. Ce n'est pas à toi à autoriser, ou pas, ces critiques. Tu es libre de ne pas les prendre en compte, mais c'est à peu près tout.
Je trouve que les cases 1 à 4 du post d'Elzen, traduit de manière parfaite par pierrecastor, valent d'être répétées (même si le premier amendement ne s'applique pas en France, on pourrait remplacer cette case par l'article idoine de la constitution).
pierrecastor a écritCase 1 : Le droit à la liberté d’expression signifie que le gouvernement ne peut vous arrêter pour ce que vous dites.
Case 2 : Ca ne signifie pas que n’importe qui ai à écouter vos conneries - Ou les héberger quand vous les partager.
Case 3 : Le premier amendement ne vous immunise pas contre la critique ou les conséquences.
Case 4 : Si on vous engueule, qu’on vous boycotte, que votre spectacle sois annuler ou bannie d’une communauté sur internet, votre droit à la liberté d’expression n’a pas été violé