david96 a écritEn fait, notre but ou du moins notre progrès social c'est de moins travailler, là on arrive avec ma wife à vivre très bien avec un ¾ de temps (24 heures par semaine) chacun…
C'est tout un travail de réduire son temps de travail 🙂
+1 , sauf temporairement pour gagner cette somme et l'investir dans ce que j'ai dit plus haut, je me contenterais fort bien d'un mi temps, je suis déjà à 24H/semaine (mais les horaires changent tout le temps, ce qui gonfle, à la longue !), et ne m'imagine pas passer aux 35H autrement, soit quelques jours comme un temps plein (genre 24H en 3 jours), soit uniquement le matin, me conviendrait très bien...
J'ai du mal à cautionner le fait de travailler toujours plus pour déléguer toujours plus de choses que d'autres feront à notre place, avec sans doute moins de cœur et moins bien que nous même, lorsque c'est dans notre intérêt.
Exemple typique ? La nounou pour des enfants, ou un repas. Se crever à faire des heures comme pas possible pour payer la nounou est un non sens à mes yeux, non content de déléguer l'éducation de nos enfants aux autres, on rentre dans un cercle vicieux... Quand à la nourriture, même si se faire un jardin et/ou cuisiner prend du temps, ça sera toujours bien meilleurs que les plats préparés du supermarché, dont le surcoût devra être assumé par des heures de travail, encore. (Des heures de vie...)
En faisant les choses soit même, au moins on les fait pour soit, pas pour que certains se taillent une part sur notre travail... (Dans certaines situations liées au salariat...)
Ce mouvement, aussi appelé vie tranquille, sobriété heureuse, ou suffisantisme, prend de plus en plus d’essor d'ailleurs... Évidemment, ça implique de faire certains choix, dont celui de s'éloigner des axes ou le coût de la vie est très largement exagéré par rapport aux conditions de vie, voir même de tenter de s'éloigner des villes afin d'avoir un bout de terre et obtenir un minimum d'autonomie.