Iamawalrus a écrit
Mais avec la dérogation rien empêche d'aller marcher autour de chez soi, se dégourdir les pattes tout seul en marchant, courant ou en vélo ou trottinette. Et c'est d'ailleurs conseillé par tout le monde. Le but n'est pas de papoter avec les voisin (comme je vois des groupes parfois en passant...) mais de bouger. C'est bon pour le corps et le moral.
0ceane a écrit
En cumulant tout ça, je suis souvent dehors en de courte durée, mais je descends au moins 15 fois par jour, entre le chien, le recyclage, le tour de pâté de maison, la bronzette, la marche digestive, et je croise personne, du coup ça dérange pas, et je prends l'air d'une autre façon, ça me change de mes longs weekends où je fais de l'équitation, mais bon il faut s'adapter, si on ne veut pas faire flamber nos comptes en banque
Oui, c'est bien comme cela que beaucoup trop d'individus se donnent cette liberté, avec les risques inhérents à ce comportement. Ne devraient utiliser cette dérogation que ceux dont le logement est trop exigu pour ne pouvoir y avoir d'activité physique. J'ai la chance de disposer pour deux personnes d'un appartement de 70 m2. Nous y faisons chacun tous les jours de la marche pendant au minimum 3/4 - 1h. Ce n'est pas très drôle, mais ce n'est quand même pas insupportable, et nul besoin de dérogation.
Ou alors, aller se promener à pied, à cheval ou en trottinette, à 2 heures du matin. Et encore faut-il qu'une telle liberté ne soit pas mise à profit par tout un chacun.
J'ai eu bien du mal à comprendre pourquoi les commerçants dont le magasin n'est pas bondé : cordonniers, coiffeurs, photographes, fleuristes, … devaient fermer boutique. D'autant que j'ai la certitude que les promesses de soutien financier de notre président ne sont que des promesses, trop faciles à énoncer et probablement impossible à tenir.
La situation dramatique de l'Alsace m'a amené à réfléchir et à changer d'avis Je considère maintenant ne pas avoir à sortir de chez moi si ce n'est pour aller travailler, et pour faire les courses. Et pour ne pas sortir tous les jours faire les courses, nous avons supprimé le pain pour nous rabattre sur des biscottes, du pain grillé. Malgré la recommandation de manger cinq fruits et légumes par jour, nous restreignons notre consommation de ces produits frais, faute de place pour en avoir suffisamment pour une semaine.
Le personnel médical nous le répète sans cesse a écrit
RESTER CHEZ VOUS
Alors, s'il vous plaît, abstenons-nous de céder à notre petit confort ou de faire les marioles, alors que d'autres sont en train de mourir faute de moyens en personnel et en matériel.
Mon journal a écrit
Les hôpitaux se préparent à la vague épidémique et, en cas de saturation des services de réanimation, aux dilemmes éthiques pour « trier » les patients accédant aux soins. En Alsace, ces arbitrages sont déjà d'actualité ; d’autres régions anticipent. Avec des consignes plus ou moins explicites
À qui la faute ?
Arbiel