Oui. Quand j'ai eu fini l'installation, DATA était sur mon bureau
Arrrfff. Je n'y mettrais aucune extrémité de moi à couper mais le fait que le dossier-point-de-montage soit visible sur le bureau ne signifie pas forcément que le contenu de la partition était déjà monté dedans, à ce moment-là.
M'enfin c'est pas grave.
Dans ton
/etc/fstab je changerais
LABEL=DATA /media/DATA auto nosuid,nodev,nofail,x-gvfs-show 0 0
pour
LABEL=DATA /media/DATA ext4 defaults 0 2
→ on sait que c'est de l'
ext4 donc autant l'annoncer tout de suite au système,
→ c'est un montage dans /media donc
x-gvfs-show n'apporte rien,
→
2 à la fin car
ext4, ce qui permettra une vérification du système de fichiers de temps en temps ( tous les 30 démarrages il me semble ).
→
nofail ne donnera pas de message d'erreur en cas de pépin sur ce montage mais ne ralentira pas non plus le démarrage si ce disque est absent → à toi de voir ( moi je préfère avoir l'info d'erreur au cas où ).
→
defaults, ok là c'est de la fainéantise cosmétique pour alléger : peu de chance effectivement que tu aies besoin de
suid ou de
dev sur une partition de data personnelles.
L'histoire du dossier à ton nom et de laisser le point de montage appartenir à root :
⋅ disons que c'est pour distinguer ce qui relève du système ( la gestion des périphériques, disques, partitions ) et de ce qui relève des humains ( la gestion de leurs données sur ces périphériques ),
⋅ ce qui compte c'est pas vraiment que le dossier soit à
ton nom ( tu l'appelles comme tu veux ) mais que le dossier appartienne à l'utilisateur qui devra écrire
dedans.
⋅ si tu ajoutes des utilisateurs humains à ton système, t'ajoutes un dossier appartenant à chaque utilisateur dans cette partition. Chacun le sien, où chacun peut écrire
dedans.
⋅ puisque DATA appartient à
root, c'est seulement
root qui peut créer ou effacer des choses
dedans DATA. Peu de chance ainsi d'effacer par accident la « racine » d'un dossier « humain » ( sauf si l'humain prend les droits
sudo ).
Est-ce que ça te paraît clair ?
( et c'est pas un drame si ça ne l'est pas, c'est pour évaluer mon explication que je demande )
Sinon, c'est pas
interdit d'attribuer DATA à un humain, du coup toute la partition lui appartient, dès la racine, cet humain pourra donc effacer des choses dès le premier « niveau »
en gros.
Voire faire en sorte que cette partition ne soit visible et utilisable que par lui et aucun autre humain ( rappel cependant : n'importe quel utilisateur capable de
sudo saura quand même y accéder, tout comme
root le big boss ).
Si plus tard tu ajoutes des utilisateurs, faudra adapter la stratégie d'accès à cette partition
puisqu'elle appartiendrait à un humain en particulier. Et là ça peut se compliquer un peu ( groupes, qui fait quoi sur quel⋅s dossier⋅s, etc ).
Alors qu'en laissant DATA à
root il suffira juste de créer au besoin un dossier appartenant à chaque humain.
https://doc.ubuntu-fr.org/droits ⋅
https://doc.ubuntu-fr.org/permissions ⋅
https://doc.ubuntu-fr.org/sudo