willcoyote a écritun autre point de vue:un ami pro windows me dit dernierement j'aimerai bien essayer vista si je trouve un moyen de le pirater
donc pour moi:si il etait si bien que ça et qu'il en ai vraiment l'utilité il le paierait
si il cherche a le pirater c'est que le tarif n'est pas en rapport avec ce que le logiciel peux lui apporter et ses besoins reels
D'accord sur le principe de ne tester le logiciel que s'il peut être piraté.
Il y a une différence entre tester et adopter pour une utilisation permanente. La plupart des logiciels propriétaires payants offrent de tester le logiciel sans frais sur une base de temps plus ou moins longue. Windows et Office ne font pas exception : on peut tester Windows sur une période de 30 jours sans entrer de clé de licence, et Office, pour 90 jours. Au-delà de ces périodes, l'achat d'une licence est requis pour continuer d'exploiter le produit.
30 jours et 90 jours : c'est généralement suffisant, si on s'emploie consciencieusement à tester le produit, pour se faire une idée si le produit répond à ses besoins et si on est prêt à en faire une utilisation permanente. Et si on répond oui à ça, il faut être prêt à se conformer aux exigences de l'éditeur (à savoir : acheter une licence).
Si on continue d'utiliser le logiciel par des moyens détournés, c'est du piratage, et je ne cautionne pas non plus.
willcoyote a écritsi un programme proprietaire et si superieur alors pourquoi ne pas le payer
je ne supporte pas les personnes qui critique un programme libre et gratuit alors que eux ont piraté leurs licence
Bémol : ce n'est pas parce qu'un logiciel est gratuit, ou même libre, qu'il doit être exempt de critiques (c'est-à-dire : le jugement, l'appréciation des qualités et défauts d'un produit ; je ne parle pas de descente pure et simple sur la seule base que le produit n'est pas une copie conforme d'un autre produit populaire). La critique, c'est ce qui permet à un logiciel de s'améliorer : dénicher les comportements inadéquats, noter les bogues, dénombrer les fonctionnalités manquantes, etc. Donc, la critique est toujours bonne, venant de la part de pirates ou non.
Mais on en revient quand même au point précédent : le logiciel que l'on utilise couramment répond-il à ses besoins ? Est-on prêt à se conformer aux exigences de l'éditeur ? Si oui, on achète le produit. Si non ou si on est incapable de se conformer aux exigences de l'éditeur, eh bien, on se passe du produit et on trouve des alternatives. Je ne cautionne pas le piratage.