Bon, puisque tu deviens méprisant, moi aussi, tu l'auras cherché.
En ce qui me concerne, je pense que ta crédibilité en tant que source de référence sur le sujet se résume en deux courtes quotes :
légifrance (gras rajouté par moi) a écritSont interdites, à défaut de consentement du propriétaire du brevet :
a) La fabrication, l'offre, la mise dans le commerce, l'utilisation ou bien l'importation ou la détention aux fins précitées du produit objet du brevet ;
torpedolos (gras retiré par moi) a écritDonc, dire qu'un brevet peut être utilisé pour empêcher qu'une invention soit utilisée, est faux. Totalement faux. C'est même très exactement l'inverse.
Après, j'en sais rien, peut-être que tu as parfaitement compris, mais que tu es d'une mauvaise foi tellement maniniesque que tu refuses de reconnaîre que tu puisses avoir tort sur certains points, ou bien tu n'arrives vraiment pas à te rendre compte que l'on puisse prendre en compte les interdictions apportées au reste du monde plus que les obligations apportées à l'ayant droit, ou peut-être que tu es tellement persuadé que les brevets sont forcément géniaux que tu n'arrives juste pas à accepter que leur principe de base est la limitation. Enfin, ch'uis pas psy, ça relève pas de mes compétences.
Vu que tu nous causes du « monde réel », quand même, il faudrait peut-être au moins que tu aies un sens des réalités suffisant pour comprendre que s'il n'y avait de contraintes que pour celui qui dépose le brevet, comme c'est à peu près ce que tu nous rabâches depuis le début en niant ou en minimisant toutes les contraintes apportées aux autres, il y aurait peut-être moins de brevets déposés, mais bon.
Quoi qu'il en soit, et même si je te donne raison sur quelques points, la conclusion la plus censée à l'affaire est toujours celle que j'ai formulée d'entrée de jeu : on peut (ou pas, ça dépend des sensibilités de chacun) voir tout un tas d'avantages au système des brevets, et préférer regarder surtout les contreparties parce que c'est plus agréable à l'œil, mais il faut quand même être honnête (et légifrance nous l'indique en toute lettres dans la première des deux quotes ci-dessus) : un brevet, ça sert à interdire au reste de l'humanité d'utiliser quelque chose sous prétexte qu'on a été le premier à le déposer.
torpedolos a écritPS: les noms propres n'ont pas d'orthographe.
PS : Non seulement ils en ont un, mais ça a même une valeur juridique, comme l'attestent deux articles plus ou moins récents du blog de Maître Eolas : http://www.maitre-eolas.fr/post/2010/01/12/Le-nom-dit-s%E2%80%99%C3%A9crit. et http://www.maitre-eolas.fr/post/2010/01/03/circulaire-du-double-nom-de-famille-%3A-le-Conseil-d-%C3%89tat-a-d%C3%A9cid%C3%A9-de-tirer-tirer-un-trait