J'ai decouvert l'information hiers à peine avant de me coucher j'ai été saisit d'éfroit mais au moins, je suis jeureux de voir qu'il y a un poste traitant et comme je l'ai dit
ici,
Mon analyse est la suivante, Si l'imprimerie permit au peuple de lire et de s'instruire, l'internet lui a permit d'écrire et de s'exprimer, en cherchant à l'interdire, d'une manière aussi lâche, les élites qui jusqu'à lors rechignaient seulement à partager leur petit joujou millénaire qu'est le pouvoir politique, dorénavant elles veulent au peuple qu'il a découvert par lui même. Il s'agit la d'un palier qui a été atteint car les élites savent que de la prise de parole à l'acte, il n'y a qu'un pas à faire.
Combien y a-t-il eu ces dernières années de lois en faveur des sans abri ? des foyers démunit ? de l'éducation ? de la santé ? Des besoins primordiaux en somme, des besoins qui doivent primer sur tous les autres ? Certainement aucun de vous ne pourrait s'en souvenir de plus d'une demi-dizaines de mesures sociales entreprisent les 30 dernières années et ce dans tous les pays du monde confondu ? Probablement personne et pour cause, fouillez bien, 5 mesures sociales y'en a forcement eu en 30ans dans tous les pays du monde, non ? eh bien non. Et encore s'il y'en a eu, elle ne peuvent être que dérisoires et ont du être adoptée sous des pressions insupportables et en battant des lenteurs de record, la récente reforme de la santé de Barak Obama (Bien que je ne soutienne pas l'homme mais le projet de loi) qui pourtant nécessaire mais ne passe pas, n'en est que l'illustration la plus flagrante. Pourtant lorsque l'on vois des mesures aussi futiles et secondaires que l'HADOPI sont "prioritaire" et que d'autres comme l'ACTA sont adoptée avant même d'exister (!), on peut en déduire deux enseignements, le premier étant que la vitesse à laquelle est appliquée une loi est inversement proportionnelle à l'interet qu'elle présente pour les citoyens, le segon vient mette en évidence le fait que l'on puisse, nous, citoyens de base, pleibe, peuple, populace craceuse, prolétariat qui pu la sueur mette en place des lois sociales, aussi rapidement que nécessaire, à condition que nous imposions notre volonté.