Bonsoir (c'est vrai, on oublie la courtoisie).
Astrolivier a écriten attendant tu cites un article ou marine le pen raconte des conneries et tu l'amalgames avec les écolos et la gauche... bravo !.
C'est exactement ce que fais, oui! Ce que je voulais faire, c'est justement ce que je voulais illustrer: à force de raconter des sornettes sur les OGM, de confondre hybridation et manipulation des gênes, transgenèse, Terminator (semence prévue pour ne pas germer), plantes bisannuelles, et d'essayer de faire prendre au petit peuple des vessies pour des lanternes, le pire est arrivé en cette circonstance, l'extrême droite est capable de le faire aussi.
J'ai l'habitude de faire confiance, tout en m'informant, aux chercheurs publics qui sont payés pour ça.
Au fait (tribunal de grande instance de Paris
http://www.agriculture-environnement.fr/OGM-Un-jugement-a-effet-boomerang.html ) " Laisser entendre que les résultats des travaux d'un chercheur sont conditionnés par ses sources de financement est passible du délit de diffamation. En effet, les magistrats ont estimé qu'un chercheur – en l'occurrence le Pr Séralini – pouvait parfaitement rester « indépendant », bien que certaines de ses études aient été intégralement financées par des organismes militants et de droit privé, notamment Carrefour, Greenpeace, la Fondation pour le progrès de l'homme et la Fondation pour une Terre humaine, qui tous affichent clairement leur opposition aux OGM." Très bien, mais c'est un boomerang: en général ce sont les militants anti tout qui prétendent que les chercheurs publics (Inra, Cnrs etc.) sont vendus aux grandes multinationales quand elles participent au financement de leurs recherches. D'ailleurs ils sont aussi vendus au gouvernement (qui les paye) et qui est lui même vendu aux mêmes multinationale. Finalement, tous diffamateurs.
Avec ça on va loin. Un peu de raison, les gars!
En parlant de cet évènement Marine Le Pen attaquant les endives soi-disant OGM, je voulais faire remarquer que le mensonge et la diffamation amenaient simplement à se faire dépasser sur son propre terrain, et à perdre finalement la confiance des gens honnêtes.