mydjey a écritSans se passer. Pour donner un exemple parlant c'est un peu comme si une entreprise française avec disons 2 millions de clients sur le seul marché français décidait un jour d'élargir sa clientèle à l'international et qu'elle se dise « Bon on vise dorénavant un public mondial potentiel de X millions de personnes, on va bien voir si ça marche, mais pour l'instant on ne tient plus compte de nos clients français ». o0°
Ben…
Ta phrase de départ, « Pour résumer ma pensée, ils ne peuvent pas atteindre le public visé sans se passer du public actuel », ça veut littéralement dire que tu serais d'accord avec le fait que ne plus tenir compte des clients français serait une condition nécessaire pour atteindre ledit public mondial ; il me semble que ce n'est pas ce que tu veux dire ?
mydjey a écritPerso je comprend pas, au contraire la logique aurait été pour moi de proposer l'opt-in, les personnes qui auraient dis oui l'auraient fait en connaissance de cause et auraient été d'autant plus apte à l'utiliser et à acheter via ce biais.
Comme je l'ai dit, je soupçonne que la raison pour laquelle il n'y a pas cet opt-in, c'est qu'ils voulaient autant que possible de retours sur la façon dont fonctionne le truc ; et qu'ils avaient déjà prévu de le mettre dans la prochaine version. J'espère ne pas me planter.
(Ce ne serait pas la première fois qu'ils utilisent la communauté pour les tests finaux ; ce qui me semble assez compréhensible, dans un sens)
mydjey a écritPour que l'avis de quelqu'un soit légitime il doit forcement faire partie du « public visé » ?
Je ne crois pas, je me sens autant légitime que le public visé lorsque je donne mon avis par exemple sur le mariage homosexuel ou sur les conditions de prise en charge des patients atteins d'anorexie au sein des hôpitaux publics. Pas besoin selon moi d'être expert ni visé par quelque chose pour avoir un avis « légitime », heureusement.
J'ai mal dû m'exprimer : je ne dis pas que nous n'avons aucune légitimité à donner notre avis ; seulement que nous n'avons aucune légitimité à dire si les choix qu'ils font satisfont ou non leurs objectifs. En d'autres termes, ne faisant pas partie du « grand public », je ne pense pas être en mesure de dire, en me basant sur mes propres idées et ressenti, si cette mesure convient ou ne convient pas au « grand public ». Je sais qu'elle ne me convient pas à moi ; mais je ne sais pas ce qui se passe dans la tête des gens qui sont visés, et je ne pense pas que d'autres participants à cette discussion soient mieux placés que moi pour cela. Est-ce plus clair ?