mrey68 a écritIl me" semble là aussi percevoir un message subliminal
Il n'y en a pas, pourtant.
mrey68 a écritLe terrorisme est l'emploi de la terreur à des fins politiques. Le mot me semble clairement défini
C'est très large, donc, comme définition : elle permet d'inclure des états. Ou alors, on parle de mode opératoire, et, là, je renvoie à ce que Jean-Dominique Merchet peu écrire (voir mon lien plus haut).
mrey68 a écritOn n'est pas au temps de l'occupation où les nazis qualifiaient résistants, communistes et tout ce qui ne leur plaisait pas de terroristes, qu'il faudrait s'abstenir d'appeler terroriste ceux qui le sont. La situation malienne n'a rien à voir avec la France de l'occupation.
Certes non. Il n'en reste pas moins qu'aujourd'hui, dans le monde, le terme est utilisé à des fins propagandistes. Après tout, le régime syrien qualifie ses opposants de terroristes, tout comme le régime de Khadafi avant lui. Comme pour souligner que, contre des « terroristes » tous les moyens sont bons.
mrey68 a écritEn + c'est à peine poussé...mais qui sait...oui...un jour peut-être, dans 1000anss , tous les alquaidistes seront au panthéon, on viendra déposer des fleurs sur leurs tombes à coup de sonnerie aux morts ...pff risible
S'ils gagnent, ce que je ne souhaite pas, peut-être. Mais je n'ai pas en tout cas, laissé entendre que j'avais la moindre sympathie pour les islamistes du Nord du Mali, pourquoi, dès lors, le sous-entendre ?
Quand aux islamistes, la définition a peut-être, effectivement, besoin d'une clarification, effectivement. Ceci dit, islamistes ne signifie pas « pratiquants de l'islam », dans ce cas, on parle plutôt de musulmans. Islamistes, il me semble, peut être compris comme les pratiquants de l'islam qui veulent imposer une interprétation rigoriste des préceptes de cette religion à d'autres. Si besoin par la force (et comme l'usage de la force n'est pas une condition nécessaire, cela me fait penser à d'autres, plus proches de nous).