Dalai-Lama a écritle -ette de geekette est clairement la mise au féminin du mot et une marque affective.
Admettons que ce soit « affectif » : en quoi les geekes (j'insiste) devraient-elles subir en permanence une « affection » qui n'a juste rien à foutre là ? Exprimes-tu autant ton « affection » envers les geekets ?
Une geeke est une personne comme une autre ; elle n'a pas besoin d'une « affection » particulière – juste d'avoir le droit d'être geeke sans que son sexe biologique ne vienne interférer dans ses relations avec le reste d'entre nous.
Dalai-Lama a écritSimplement voir du sexisme là où il n'y en a absolument pas, ça me dégoute.
Moi, ce qui me « dégoutte », c'est que, dès qu'on pointe un truc du doigt, il y a un type comme toi pour réagir et dire « mais nan, là, il n'y a pas de problème, vous délirez », sans même sembler se poser la question de savoir s'il ne pourrait pas y avoir un petit semblant de raison motivant l'intervention…
Dalai-Lama a écritSi vous voulez défendre la cause des femmes, arrêter de raconter des conneries sur des trucs insignifiants et hors sujet, et posez vous des questions sur la représentation de la femme dans les magazines féminins ou dans les publicités par exemple.
ça me semble juste 1000 fois plus pertinent qu'un article rempli d'amalgames entre gamer, geek, connards, et exhibitionniste.
Et en disant ça, bien sûr, le fait que tu valides une partie des points mentionnés par ledit article ne compte pour rien.
À propos des trucs « insignifiants » : il se trouve qu'un seul d'entre eux, prit isolément, est effectivement d'importance assez faible ; mais c'est la somme de tout qui donne des résultats déplorables.
Avant de chercher à changer le reste du monde (nous ne sommes pas entre tenants de magazines féminins ni entre publicitaires, je rappelle, mais entre geeks, donc commençons par regarder ce qui se passe chez les geeks, qui est loin d'être plus glorieux), et ça commence par le fait de savoir si on peut, ou pas, reconnaître aux geekes le droit d'exister sans avoir à subir d'appellations qui sont tout de même tout-à-fait qualifiables de dépréciatives, quand bien même on tenterait de faire passer cette dépréciation pour une « affection » qui n'aurait rien de plus à fiche là.