Sopo les Râ a écritc-cube a écritN'étudions nous pas nous-mêmes certaines populations animales dangereuses pour nous, tout en gardant nos distances ?
On a plutôt tendance à les chasser en fait.
En effet et c'est parfois nécessaire à notre survie en plus.
Ce qui fait dire à certains esprits brillants comme Stephen Hawking que si nous avons affaire à des extraterrestres nomades, cela
pourrait être dommageable pour nous.
D'ailleurs, pour lui, la question de l'existence d'une vie extraterrestre
ne se pose même pas compte tenu de sa probabilité élevée.
Cela dit, en dehors de l'idée de la destruction par choc culturel, je ne souscris pas tellement à l'approche qui consiste à considérer que des extraterrestres seraient éventuellement dangereux pour nous parce qu'ils pourraient en avoir après nos ressources.
Si une ressource donnée les intéresse, elle existe très probablement en abondance ailleurs dans notre système solaire ou dans d'autres, alors pourquoi s'embêter à ajouter de la difficulté dans l'exploitation de cette ressource en allant la chercher sur une planète surpeuplée ?
Par exemple, certains scénarios hollywoodiens envisagent qu'ils pourraient en avoir après notre eau. C'est peu probable car il y a plus d'eau sur le satellite Europe de Jupiter que sur notre propre planète. Et aux dernières nouvelles, elle est comparable à celle de nos océans. Il y en a aussi sur Encelade (satellite de Saturne).
Après il reste la possibilité qu'ils en aient directement après nous parce que, pour une raison ou un autre, la ressource c'est nous.
C'est tout le propos de certains scénarios de SF tel que celui de la série V ou bien, encore avant, le grand classique de La Quatrième Dimension : «
Comment servir l'homme ».
M'est avis que cela reflète surtout des peurs bien anthropocentriques tout de même. Mais sait-on jamais…
Sinon, tout en trouvant que Morgiver décrit très bien l'absurdité du comportement de certains sceptiques, j'envisage plutôt la chose comme xabilon.
Pour moi il y a différentes attitudes sceptiques, autrement dit de doute. Certaines sont rationnelles et ne s'empêchent pas d'étudier une hypothèse donnée, même s'il s'agit d'extraterrestres, pour faire progresser la connaissance. En l'absence d'éléments probants en quantité suffisante, elles s'abstiennent de conclure sans pour autant fermer la porte aux possibilités étudiées.
Là où cela devient plus problématique, à mon sens, c'est lorsque le doute est générateur d'
a priori et conduit à une attitude aussi fermée qu'absurde qui consiste à nier les faits sans les avoir étudiés sérieusement, ou à refuser de les étudier parce qu'ils ne cadrent pas avec certaines constructions théoriques ou une représentation du réel tenue pour vraie.