mazarini a écrit
Que l'on ne peut pas se balader avec une arme sauf à respecter certaines règles.
Exact. Ma fille (gardien de la paix (eh oui) m'a bien indiqué qu'il n'existe aucun droit ou autorisation de port d'armes en France. Seuls les forces de l'ordre rattachées au ministère de l'intérieur ou de la défense, ainsi que les militaires ont cette autorisation.
Seuls existent des exceptions définies dans le cadre de la loi, vous trouverez les détails
ici.
La possession d'armes n'est pas interdite, mais il est interdit de les transporter. Même "démilitarisées".
Dans le cas des activités sportives : Les membres d'associations sportives agréées (tir, arts martiaux) peuvent transporter des armes de 1ère, 4ème ou 6ème catégorie, sous réserve de le faire avec un motif légitime.
Lors de leur transport légitime, ces armes ne doivent pas être immédiatement utilisables soit :
en recourant à un dispositif technique répondant à cet objectif,
soit par démontage d'une de leurs pièces de sécurité.
Certains mettent leur arme de tir sportif dans un attaché-case fermé à clé pour aller de chez eux au stand de tir, d'autres les laissent dans l'armurerie du stand.
J'ai un cousin qui a tué son gosse il y a bien longtemps en nettoyant son arme chez lui en présence de l'enfant. Comme quoi, les armes saymal.
Ma fille ne garde jamais son arme en dehors du service, elle la dépose à l'armurerie du commissariat. Certains la prennent chez eux, mais c'est rare. Malheureusement ces armes de policiers(en dehors des Bac) sont le plus souvent utilisées dans le cadre d'un suicide, sur le lieu de travail ou non.
Dans le cas qui nous préoccupe ici, je crois que la seule "arme" dont disposait cette personne était une "bombe" lacrymogène, non ? Je n'ai pas la moindre compassion pour les deux auteurs du vol, et j'ignore totalement quelle est leur origine, gauloise ou pas, ce sont de jeunes français, un point c'est tout. J'ai beaucoup de compassion pour leur famille, notamment celle de celui qui a été interpellé, qui avait un CV de délinquant long comme le bras, et dont les parents (la mère, c'est toujours la faute de la mère ce qui arrive aux enfants... de l'autisme jusqu'à la délinquance en passant par l'échec scolaire et le nez qui coule) sont à plaindre. Il ne leur reste que leurs yeux pour pleurer, comme à la famille du Monsieur abattu comme un chien par deux jeunes branleurs en culotte courte.