FromBabylon a écritJe comprends pas trop les mecs qui débarquent pour parler de paranoïa ou je ne sais quoi.. J'ai lancé ce sujet sur des faits réels, avérés.
Franchement si vous vous en foutez de ce qui se passe, des libertés prises par certaines entreprises et/ou agences gouvernementales tant mieux pour vous personnellement on viole ma liberté, que cela puisse oui ou non me porter me préjudice n'a rien à faire ici.
C'est moi qui ai parlé le premier de paranoïa (Hier à 11:43) en répondant à Vibratoire. Celui-ci parlait effectivement de la surveillance des communications, mais partait aussi dans le délire dramatique sur les vaccinations, la bouffe, les médicaments poisons et la souffrance des pauv's petites bébêtes. Entre autres. Là c'est plus possible pour moi de rester calme.
Que tu aies lancé ce sujet sur des faits réels et avérés, c'est vrai pas de problèmes. Je partage tes inquiétudes. Mais la litanie parano de vibratoire établit un lien, d'analogie ou de cause à effet, entre ce dont tu parles et que tu dénonces et tout un tas de phénomènes fantasmés qui relèvent plus de la crainte millénariste ou du désir inavouable de trouver des coupables à tout ce qui arrive à sa propre vie, et de l'incapacité à jouir d'un éventuel avenir positif pour soi et les autres.
En plus établir un lien entre tes craintes crédibles et celles que cite vibratoire, c'est enlever toute crédibilité à ta position.
Que diable, si l'on n'a pas confiance
un minimum en soi, en les autres et en son propre avenir, qu'est ce qui reste ? Dire que c'est toujours la faute des autres ? Pourtant à mon âge (67) j'en ai vu des vertes et des pas mûres, mais, conçu l'année de la libération (45) et des retrouvailles de mes parents après 3 ans de séparation pour cause de guerroyage sur différents océans, j'ai toujours vu la vie en considérant les chances dont elle allait me pourvoir (à condition de se retrousser les manches) plutôt que les échecs qu'elle risquait de me faire courir (surtout si je reste la regarder défiler en râlant contre tous ceux font quelque chose).
Zut je fais toujours des phrases trop longues.
Cordialement